06/02/2012

Ce bon vieux temps de la Coop...

Et si l'on récapitulait un peu ce qui a pu se passer lors de cette période charnière dans l'histoire de notre chère montagne ?...

On se rappellera donc qu'en 1996, après la faillite en 1995 de l'OSBL auquel avait été d'abord été confiée la gestion de la station lors de sa fondation en 1990, celle-ci se trouva à passer sous le contrôle d'une coopérative de travailleurs, plus communément appelée la « Coop », à laquelle on ne peut que créditer l'exploit d'avoir maintenu le Mont-Édouard en activité pendant pas moins de dix années, soit jusqu'en 2006, ou en d'autres termes jusqu'à l'arrivée de Claude Boucher. Il n'est sans doute pas exagéré de parler d'exploit dans la mesure où cela représente de loin la plus longue période au cours de laquelle le centre de ski se sera vu dirigé sans interruption par la même équipe, et selon le même modèle administratif. De plus, une telle performance ne s'avère-t-elle pas d'autant plus remarquable que le fait même de gérer le Mont-Édouard semble pratiquement relever de la prouesse, comme cela semble nous être de plus en plus clairement démontré?

D'ailleurs, y a-t-il quoi que ce soit qui puisse permettre de croire qu'après avoir établi un tel record de longévité, la Coop n'aurait pas pu pratiquement garder le centre de ski en fonction aussi longtemps qu'elle l'aurait voulu, si son règne n'avait du vu forcé de connaître une fin prématurée, à cause d'un certain Claude Boucher ?

Et pourtant, y a-t-il en fait quoi que ce soit qui puisse justifier que l'on ait carrément forcé la Coop à déclarer faillite, comme l'a justement fait ce dernier, et ce dans le seul but de permettre à la municipalité de racheter la station à moindre coût ?

Y a-t-il même quoi que ce soit qui permette d'affirmer que la Coop était alors en mauvaise situation financière ?

Car tous ses comptes n'étaient-ils pas payés ? Et si par nécessité la Coop pouvait avoir pris, comme tant d'autres organismes, l'habitude de ne complètement rembourser certaines factures que plus tard dans l'année financière, comment cela aurait-il donc pu être sérieusement considéré comme un défaut de paiement, puisque de tels délais relevaient en fait d'une entente tacite de la Coop avec ses créanciers (en l'occurence la SADC et Investissement Québec), qui avaient tôt fait de réaliser qu'il suffisait de laisser à la Coop le temps qu'il lui fallait pour qu'elle finisse par payer son dû, comme elle réussissait justement à le faire à chaque année ?

Et surtout, ne faut-il pas admettre que, du temps de la Coop, le Mont-Édouard n'aura jamais couté davantage à la municipalité qu'une subvention de 50 000 $ par année afin de l'aider à couvrir des factures d'électricité s'élevant habituellement à 60-70 000 $ ? En d'autres termes, ne faudra-t-il pas un jour se rendre à l'évidence, et reconnaître que la station coûtait alors aux contribuables SIX FOIS moins cher que les 300 000 $ que nous devons maintenant sacrifier à chaque année depuis l'entrée en poste de Claude Boucher, de l'aveu même de ce dernier, et qui ne représente vraisemblablement qu'un plancher qui a presque assurément du se voir dépassé plus d'une fois, si ce n'est encore le cas présentement ?

Faudrait-il donc en déduire qu'aux yeux de celui-ci, le Mont-Édouard du temps de la Coop se trouvait à ne tout simplement pas nous coûter assez cher ?

Ou quelle autre explication pourrait-on donc trouver pour justifier qu'aussitôt devenu maire, M. Boucher a sciemment poussé la Coop vers l'agonie puis la mort, en commençant par lui refuser l'accès aux remontées mécaniques, dont la municipalité était alors déjà propriétaire, puis en la privant tout bonnement de sa bouée de sauvetage annuelle de 50 000 $, coupant ainsi la Coop de toute entrée d'oxygène, de manière à forcer celle-ci à se saborder elle-même, ce à quoi ses membres finirent donc par se résigner, de guerre lasse, et surtout afin de sauver la station qu'on aura ainsi tout simplement pris en otage ? Or, en ce faisant, Claude Boucher n'a-t-il pas surtout donné aux membres de la Coop l'ultime occasion de démontrer jusqu'à la toute fin qu'ils auront donc fait pratiquement tout ce qui était en leur pouvoir pour sauver le centre de ski dans lequel ils avaient tout investi, contrairement à un certain personnage qui de son côté semble avoir plutôt joué avec la vie et la mort de cette dernière ?

Et si l'on devait sérieusement chercher ne serait-ce qu'un minimum de sens dans un tel comportement de la part du maire, comment pourrait-on ne pas conclure que celui-ci s'était dès le départ mis en tête de tuer la Coop, quitte à devoir pour cela passer par tous les prétextes possibles ou imaginables, et quitte à notamment faire pleuvoir sur ses gestionnaires une panoplie d'accusations aussi gratuites que mensongères, dans le seul but de miner leur crédibilité pour ainsi « justifier » l'intervention d'un prétendu sauveur, le tout sans bien sûr jamais éprouver apparemment la moindre scrupule pour les réputations ainsi détruites sans raison, et quitte à même aller, pour finalement en venir à avoir ce qu'il voulait, jusqu'à passer par une fausse faillite qui, en bout de ligne, ne s'avérait donc rien de moins qu'une pure et simple entourloupe légale, ou en d'autres termes une fraude ?

En bout de ligne, comment ne pas en venir à déduire que M. Boucher portait manifestement pas la formule coopérative dans son coeur, à cause de quelconques idées préconçues ou d'un quelconque biais idéologique, et qu'il s'est donc employé à devenir le « boucher » de celle-ci, de manière à pouvoir ensuite mettre en place un plan qu'il paraissait avoir tout aussi gratuitement décidé d'avance, soit l'acquisition du Mont-Édouard par la municipalité ?

Et fidèle à son habitude, M. Boucher ne s'est-il pas ensuite empressé d'appliquer son plan dans son intégralité, avant que l'on ait pu même commencer à se demander si cela pouvait répondre à un quelconque besoin réel ? Il faut croire que ce n'était d'ailleurs pas sans raison : en effet, n'aurait-on pas alors tôt fait de réaliser à quel point un tel plan pouvait justement s'avérer déconnecté de la réalité ?

Car après tout, pourquoi diable une municipalité voudrait-elle donc s'enticher de quelque chose d'aussi fatalement déficitaire qu'un centre de ski ?

Pourquoi une municipalité voudrait-elle donc se lancer dans un pari aussi risqué, si ce n'est dans l'intention de le perdre ?

Et n'est-ce pas justement ce que l'ancienne mairesse, Rita Gaudreault, s'était fait un devoir de rappeler à quiconque s'essayait à la tenter vers la voie de la facilité, soit celle dans laquelle Boucher se sera donc joyeusement lancé à corps perdu, en répondant alors qu'une prise de contrôle de la station par la municipalité ne pouvait tout simplement pas s'avérer une bonne idée puisque, pour reprendre ses termes, « ça nous couterait trop cher » ?

Or, ne faut-il pas avouer que le temps semble lui avoir donné raison, pour le moins qu'on puisse dire ?

Et n'était-ce pourtant pas un peu facile à prévoir, justement ?

Car comme l'avait manifestement bien compris Mme Gaudreault, faire passer une entreprise sous le giron municipal n'implique-t-il pas d'assujettir celle-ci à une réglementation plus stricte, notamment au niveau syndical, qui fait qu'il ne pourra donc qu'en coûter plus cher pour voir le même travail effectué par les mêmes employés ? Et une telle inflation ne peut-elle pas que s'avérer d'autant plus spectaculaire si l'entreprise en question était au départ une coopérative, dans la mesure où il s'agit sans doute du modèle d'entreprise tolérant les seuils salariaux les plus bas ?

Mais surtout, le fait de rendre publique une entreprise, quelle qu'elle soit, ne revient-il pas au départ à ouvrir toute grande la porte au gaspillage sous toutes ses formes, dans la mesure où, à partir de ce moment, les gestionnaires de l'entreprise pourront soudainement se mettre à excuser les pires erreurs de même que les pires dérives, puisqu'à partir de ce moment ils pourront toujours se dire que de toute façon, les contribuables n'auront d'autre choix que de payer la facture au bout du compte ?

Et d'ailleurs, si quelqu'un semble avoir bien compris cette faille à exploiter, n'est-ce pas justement M. Boucher lui-même ?

Car n'a-t-il pas démontré au moins une fois la facilité alarmante avec laquelle il pouvait recourir à ce genre de raisonnement, et ce sans la moindre trace de gêne, à un certain moment où il lui fallait « justifier » une forme particulièrement évidente de gaspillage, soit sa décision d'ouvrir la montagne pour des journées où l'on pouvait pourtant s'attendre à ce qu'il n'y ait aucun visiteur puisqu'elle avait été annoncée comme devant être alors fermée, et où l'on aura donc pu entendre proférés de sa propre bouche les mot suivants : « de toute façon, la municipalité va payer ! » ?...

Et de façon plus générale, si l'on voulait trouver une démonstration du fait que la «l'étatisation » d'une entreprise ne peut qu'encourager la développement d'une certaine « culture du gaspillage », les expériences d'apprenti-sorcier de M. Boucher n'en fourniraient-elles pas une preuve sans doute plus grossièrement évidente que tout ce que l'on aurait même pu imaginer ?

Ne faut-il pas en effet concéder que l'on semble tomber de haut, quand on considère l'actuel délabrement des finances et de l'atmosphère de la station, du moment où l'on se rappelle qu'à l'époque de la Coop, chacun des membres de cette dernière se trouvait à débourser au départ pas moins de 5000 $ de sa poche, en plus de voir prélevé 5 % de sa paye annuelle ?

Et comment ne pas avoir carrément honte, en constatant de récents dérapages tels que le « trafic » de cartes de saisons ou le fait d'en être réduit à payer ses bénévoles, quand on pense que, toujours dans ce « temps béni » de la Coop, pas moins de 120 000 $, en argent sonnant et trébuchant, aura été investi en tout par les coopérants !..

Mais surtout... N'est-il pas proprement scandaleux de réaliser que si le plus haut dirigeant de la Coop n'aura jamais gagné plus de 25 000 $ en salaire, le maire Boucher se sera empressé de remplacer celui-ci par un grand manitou sorti d'on ne sait où, et qui dès la première année touchait déjà 150 000 $, soit six fois plus, et ce pour un travail s'avérant loin d'être nécessairement plus satisfaisant, comme on pourra d'ailleurs le constater plus bas ?...

Car le portrait ne devient-il pas proprement alarmant quand on considère que tout cela ne représentait en fait que le prélude à toute l'orgie de gaspillage qui allait pouvoir suivre ?

En effet, n'est-il pas proprement désolant de constater que si, au temps de cette bonne vieille Coop, on prenait soin de s'équiper avec du matériel aussi peu dispendieux que possible, mais qui n'en livrait pas moins la marchandise, un sage raisonnement qui se voyait donc appliqué tant aux ordinateurs qu'aux motoneiges et aux « dameuses », cette approche paraît avoir été carrément inversée dès l'arrivée de Claude Boucher, où l'on a semblé tout d'un coup n'avoir plus d'autre préoccupation que celle de s'assurer qu'il n'est point de nouvelle motoneige qui ne soit en fait « le ski-doo de l'année ? »...

Et en fait, ne devient-il pas carrément alarmant de voir que dès l'instant où il s'est enfin retrouvé à la tête du Mont-Édouard, le maire semble n'avoir rien de trouver de mieux à faire qu'à remplacer aussitôt la totalité des ordinateurs de la station, qui pourtant fonctionnaient très bien, et ce avec un tel empressement, voire un tel aveuglement qu'on n'aura même pas pris la peine de faire de « back up » de ces derniers, de sorte que l'on se trouva du même coup à pratiquement détruire toute l'information la plus essentielle aux activités du centre de ski, à commencer par celle relative aux cartes de saison ?

Et si l'on pouvait même parvenir à faire abstraction de la pure folie qui semble être suggérée par l'incident précédemment mentionné, ne serait-on pas en droit de tout au moins se demander s'il se pouvait donc que, dès l'entrée en scène de Claude Boucher, le règne de la prudence et de la saine retenue aient tout simplement cédé la place à celui du tape-à-l'oeil et des gadgets inutiles ?

Et parlant de gadgets inutiles, y a-t-il seulement quelqu'un qui puisse expliquer de façon réellement convaincante en quoi le fait de bâtir une tour au sommet du Mont-Édouard a vraiment pu bénéficier de façon significative aux finances de la station, notamment sans la mise en place d'un plan d'ensemble pour en augmenter l'achalandage durant l'été ? Et surtout, peut-on seulement concevoir qu'il n'y aurait pas pu y avoir de façon justement plus directe et logique d'arriver à de tels objectifs ? En d'autres termes, ne se voit-on pas forcé d'admettre que tout l'argent qui a pu se voir engouffré dans un tel monument à la gloire du maire aurait presque assurément pu se voir investi de façon plus intelligente ?

En bout de ligne, si l'on voulait résumer en une phrase l'ère Boucher, cela ne pourrait-il pas donner quelque chose comme « beaucoup d'argent dépensé n'importe comment » ?... Ou si l'on voulait aller encore plus loin et résumer cette époque en un mot, alors cela ne pourrait-il pas donner quelque chose comme « l'ère du n'importe quoi » ?...

De plus, quand on considère le paradoxe entre des coopérants qui investissent beaucoup de leur propre poche et un maire qui dépense beaucoup à même les poches des contribuables, ne faut-il pas reconnaître que si d'une part on pourrait décrire le passage de la Coop à l'ère Boucher comme ayant été celui de l'austérité au gaspillage, on pourrait tout aussi bien en dire qu'il aura été celui de l'engagement à la désinvolture ?

D'ailleurs, cela aurait-il vraiment pu se voir plus bellement mis en évidence qu'à travers le récent échec de la nouvelle administration du Mont-Édouard à tenir un événement qui en faisait pourtant la fierté depuis plus de quinze ans, soit le festival du Télémark ?

Et encore une fois, n'est-il pas saisissant de constater le contraste entre une époque, soit celle bien sûr de la Coop, où l'on en était pratiquement rendu à contribuer à l'organisation de la Coupe du Monde de Télémark, et une autre époque, soit celle qui bien sûr est malheureusement la nôtre, où l'on ne parvient même pas, et ce dès la première année où une nouvelle administration se retrouve en poste, à renouveler un événement qui faisait pourtant partie de la tradition locale, puisqu'il avait donc pu se voir jusque là répété pendant pas moins de quinze ans ?

Et en fait, cela ne s'avère-t-il pas encore plus révoltant du moment où l'on prend en considération les raisons qui ont pu justement pu mener à un tel échec ?

Car s'il est un évidence dont les gens de la Coop semblent avoir toujours été parfaitement conscients, ne s'agit-il pas de l'absolue nécessité, pour tout centre de ski, de veiller à bien traiter ses bénévoles ?

Or, n'est-ce pas justement à cette règle on ne peut plus fondamentale que l'administration Boudreault semble avoir manqué en demandant au comité de bénévoles chargé d'organiser le festival du Télémark de systématiquement payer lui-même pour toute utilisation qu'il pourrait faire de l'une ou de l'autre des structures du centre de ski, du bar à la cafétéria, sans bien sûr oublier tout le reste ?

N'y avait-il donc personne de présent, dans les hautes sphères administratives de la station, pour rappeler que ce n'est tout simplement pas comme cela que l'on organise un événement qui ait ne serait-ce que moindrement d'envergure ?

La nouvelle administration du Mont-Édouard, dans son zèle à réparer les erreurs de Claude Boucher, aurait-elle donc oublié qu'il ne sert à rien, dans la vie, de s'acharner sur le passé si l'on ne se sait tout aussi bien se montrer capable de préparer l'avenir ?

N'est-ce pas pourtant clair qu'un centre de ski n'a pas besoin que de gruger des cennes ici et là, mais aussi et surtout de veiller à accroître, ou du moins à conserver sa clientèle, voire à éviter de carrément frustrer ou décevoir cette dernière ?

D'ailleurs, n'est-ce pas justement ce que la nouvelle administration semble n'avoir définitivement pas compris, en allant jusqu'à négliger une tâche aussi fondamentale que l'entretien des pentes durant l'été, ne serait-ce que dans le but d'éviter que les skieurs se retrouvent à tout bout de champs avec un « fouet » en plein dans les jambes, comme cela semble être pourtant le cas en ce moment ?

Or, ne suffit-il pourtant pas de consulter les pages roses de tout bon dictionnaire Larousse pour se souvenir qu'après tout, « On n'attire pas les mouches avec du vinaigre » ?...

Mais rendu là, est-ce vraiment nécessaire de continuer à faire la démonstration qu'autant les membres de la défunte Coopérative de travailleurs du Mont-Édouard semblaient avoir clairement compris ce en quoi consiste la saine gestion d'un centre de ski, et surtout d'une station plutôt fragile comme la nôtre, cela paraît totalement échapper autant à un maire apparemment animé d'une sorte de mégalomanie qu'à une nouvelle administration qui paraît n'avoir jamais su ou voulu faire autre chose, depuis son arrivée en poste, que de couper, couper encore et couper toujours davantage ?

En conclusion, si l'on voulait réellement rendre justice à l'ancienne Coop, ne faudrait-il pas lui créditer d'avoir non seulement pu établir un simple record de longévité, mais surtout d'avoir su miser sur l'essentiel, et donc sur tout ce qui peut faire en sorte qu'un centre de ski puisse tout simplement bien fonctionner ?

Ainsi, l'époque de la Coop ne devrait-elle pas se voir remémorée non seulement comme une période de stabilité pour la montagne, mais surtout comme une période marquante de son existence ?

D'ailleurs, n'est-ce pas ce que tendent à suggérer les nombreux commentaires nostalgiques de clients qui, lors des années suivant le départ de la Coop, n'ont cessé de demandé où étaient donc passés les membres de l'ancienne équipe, se remémorant l'atmosphère positive qui a jadis pu régner au Mont-Édouard à travers de soudaines exclamations pouvant ressembler à celle-ci : «Me semble donc que c'était le fun, icitte, avant ! »...

Et ce genre de commentaire ne se trouve-t-il pas surtout à démontrer qu'en bout de ligne, l'atout le plus précieux dont peut jouir une station de ski comme toute entreprise de loisir, soit justement une atmosphère positive et agréable, semble inextricablement lié au fait que l'entreprise soit tout simplement bien gérée, et, surtout, qu'elle soit gérée avec implication et application, ou en un mot avec amour, comme on semblait donc le faire du temps de la Coop ?

Et quand on considère que l'on sera donc passé d'une telle « époque glorieuse » au désastre que l'on peut constater aujourd'hui, ne se trouve-t-on pas alors en droit de se demander en quoi M. Boucher peut-il donc voir en cela une amélioration ?

Comment dès lors ne pas en venir, une fois de plus, à interpréter tout ce que le maire peut affirmer comme correspondant en fait au contraire de la vérité ?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire